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pourquoi régulièrement tous les samedis soir ?… et dans cette église ?… et dans un moment où, à ce que m’assure Biondello, il n’y a jamais personne ? C’est-ce que je saurai au plus tard samedi prochain ; mais jusqu’alors, mon cher ami, aidez-moi à traverser rapidement cet espace immense de temps. Ah ! c’est en vain… les heures s’écoulent avec lenteur… et mon âme brûle. —
Mais, ce jour arrivé, que vous proposez-vous de faire, mon prince ? —
Ce que je ferai ! je la verrai, j’apprendrai sa demeure, je saurais qui elle est. Mais que m’importe, au reste ? ce que j’ai vu d’elle me rendait heureux ; je suis donc assuré d’être heureux en la revoyant. —