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— Ce sont les photographies de mes amants.

— C’est pour me les exhiber que tu m’as demandé de venir ?

— Tenez, ce brun est actuellement mon amant en pied, c’est un garçon charmant, fort riche ; je l’aime, je ne pense qu’à lui.

— Il a une tête de souteneur.

— Je vais vous fiche à la porte, mon cher.

— Je voudrais bien voir ça !

— Vous allez le voir tout de suite.

— Hypocrite ! tu me dégoûtes !

— Sortez d’ici !

— Jamais de la vie !

— Vous ne voulez pas sortir ?

— Non !

— Je fais appeler un agent !

Pleurs, pardon, etc.

Et elle reprenait :

— Ne pleure pas comme ça dans mes cheveux : tu les défrises.