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conditions et les circonstances favorisant l’évolution de l’un ou de l’autre sexe…

« Le sexe du fœtus dépend du degré de l’intensité du plaisir sexuel éprouvé par les deux copulants au moment même du coït, ou du manque absolu de la sensation sexuelle, soit chez un des copulants, soit chez tous les deux. L’absence du plaisir chez les deux parents donne un fils ; l’absence chez l’homme un fils ; intensité plus grande chez la femme, un fils ; intensité égale, sexe masculin ».

Schenck (1901) pose ce principe :

Plus le sang des procréateurs est riche en globules, plus le sexe tend à la masculinité ; ou, encore, plus le chiffre des globules rouges s’élève dans le sang de la femme et se rapproche du quotient accusé par le sang de l’homme, plus le concept a des chances d’être mâle.

Il en résulte que si l’on n’institue pas un régime spécial chez les futures mères en leur donnant des aliments azotés en grande quantité avant la conception et en continuant pendant les cinq premiers mois de la grossesse, la mère donnera naissance à une fille.

Arrivons à la loi du plus faible générateur.