Aller au contenu

Page:Schwob - Cœur double, Ollendorff, 1891.djvu/273

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

blancs, aplatissaient leurs figures aux vitres du charnier, surpris de ne pas voir tourner les garçons affairés, en tablier, autour du cadavre. Leurs heures se passaient dans cette occupation ; ils en causèrent longtemps, et, inquiétés par tout changement, ils oublièrent même de hocher la tête quand ils passèrent devant sœur Angèle, qui pleurait dans sa pharmacie.