Page:Schwob - Mœurs des diurnales, 1903.djvu/227

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

moi, [monsieur (rayé)] d’en prendre ma part et de me dire, Monsieur,

Votre respectueux élève,

Paul Maroniez
3, rue de la Cloche, Douai.


Oserai-je, élève Maroniez, compléter votre petite étude critique ?

Edgar Quinet n’a pas écrit : « Vous êtes le printemps de Fannie et l’espoir de la France » (page 5). Il s’est contenté de le dire. Et il écrivait tout simplement à M. Jules Claretie, en 1867 : « Vous êtes le printemps de l’année. »

Vous avez, élève Maroniez, laissé échapper quelques barbarismes et solécismes dans une citation (peut-être inexacte) à la note de la page 6.


Reddate Cæsaro quod est Cæsari.


Je suis surpris qu’ils aient éludé votre rare perspicacité

Quand vous ouvrirez, élève Maroniez, un livre qui s’appelle Bévues Parisiennes (par M. de la Flotte. Paris, Dentu, 1860), vous serez surpris que le prote de 1860, par une admirable coïncidence avec la négligence d’un autre prote en 1903, ait