faut y renoncer… Il l’a donnée à un autre, il me l’a refusée, à moi, qui la lui demandais…
Pour ton propre compte y et non pour le mien.
Ah ! mon frère…
Qu’oses-tu dire ?…
Que c’est là, mon cher Reynolds, ce qui te désole en ce moment…
C’est une indignité !… quand tout à l’heure encore, je me disais… mon beau-frère…
Est riche et n’a besoin de rien, tandis que moi !…
C’est affreux ce que tu penses là ? Moi qui te fais épouser ma sœur ; moi, qui ai tant d’amitié, tant de dévouement…
Et tant de dettes que ce mariage doit payer.
Quelle imposture ! Tu pourrais supposer que cette union désirée par moi…
L’est encore plus par Muldorf, le tailleur ; Warbeck, le carrossier ; et surtout Fritman, le traiteur. (Riant en regardant le lorgnon.) C’est délicieux… impayable…