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Page:Segalen - Orphée-Roi.djvu/156

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s’abat et se démène d’impuissance.
LES MÉNADES et leur proie

ont disparu.

Une onde noire absorbe tout ; et la scène visible.

Il se fait un

DERNIER SILENCE
Puis on voit que tout près du Vieillard, la LYRE, dont le chant par éclats avait dominé le tumulte, gît, négligée du troupeau des assaillantes.
LE VIEILLARD

dresse La tête, se relève, s’en approche, s’agenouille et, dévotement, tend les mains pour la saisir et l’emporter.

À peine est-elle effleurée