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Page:Segalen - Peintures, 1918.djvu/26

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bout : rien ne sera changé : ces vieillards vont devenir enfants et ces nouveaux-nés des vieillards. Tout est un. Deux n’est pas deux. Tout danse, tout pétille ; tout est prêt à se rouler en spirale (comme le grand vent de l’univers). Tout s’exprime donc dans l’esprit.

Et songez bien, cette Peinture, tombée du pinceau d’un vieux Maître du temps de T’ang, par cela même qu’elle est, est esprit.

Assez vu. Déroulons alors la seconde…

(Ah ! J’oubliais de lire les derniers caractères commentant la Première Magique. Est-ce donc bien nécessaire ?) Cela s’appelle :


RONDE DES IMMORTELS.