Page:Segalen - Peintures, 1918.djvu/28

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

Au même instant, dans sa maison, l’autre pousse un cri et porte la main à son cœur. La Mère s’effraie dans la maison, car la fille maigrit et l’on ne sait quel médecin convoquer. Avant peu, son vrai cœur lui dira qui la blesse. Avant peu, elle se rendra. C’est la Peinture qui mourra ; non pas l’autre ; non pas l’autre. Mais le Peintre, alors plus n’aimera : ceci est un


PORTRAIT FIDÈLE.