qui signifient : « s’ils revenaient, les autres, n’oubliez pas de vous bien servir (il montre le sabre) de cela. »
L’homme est de nouveau seul dans son noir, campé sur son pied, sabre au poing, prêt à trancher par la nuit…
Respirez. Bien. Regardez encore : la nuit se peuple. Ce n’est plus le Visiteur cérémonieux mais quelque chose… une présence… un visage presque palpable et trop doux… Vlan ! d’un seul coup, le sabre cueille une tête qui tombe et s’accroche au fer par de longs cheveux gluants…
Respirez. Bien. Regardez encore. Nouvelle aventure : une face confiante, souriante… Vlan ! Second coup. — La face est écrasée sur les dalles. Et le même geste, par trois fois : trois, quatre, cinq. La dernière tête est petite, tranchée du fil de la lame ; — respirez enfin.
Mais voici qu’une odeur ou une couleur non plus froide, mais chaude, puis tiède à s’en