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Page:Segalen - Peintures, 1918.djvu/66

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Sinon, venez tout au fond des


PROFONDES EAUX


DES LAQUES.

Il n’y a plus de glacis impénétrable : vos yeux ne heurtent pas un éclat, mais d’eux-mêmes, attirés comme en les étangs mouvants d’autres yeux, ils plongent…

Songez bien qu’ici rien n’est pris en masse brutalement : rien n’est ici brusquement pétri-