Aller au contenu

Page:Segard - Hymnes profanes, 1894.djvu/59

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.


Je m’offre à tout le monde et ne suis à personne,
Tout idéal est mort, tout espoir envolé,
Et depuis son départ, seul et comme affolé
Je m’offre à tout le monde et ne suis à personne.

Ne me demande plus le nom de mes maîtresses,
Depuis le jour fatal où je fus délaissé
Je veux tout ignorer de ce qui s’est passé :
Ne me demande plus le nom de mes maîtresses !