Page:Segrais - L’Énéide (Tome 1), 1719.djvu/221

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Je viens te délivrer de la prison mortelle,
Et porter en ton nom au sombre Jupiter
Le tribut que l’on doit à son sceptre de fer. »
Tranchant le cheveu blond après cette parole,
Le corps demeure froid, et l’âme en l’air s’envole.