que Lucas. Les usines ont congé ce jour-là. Viendrez-vous, mon père, avec ma mère et Lucas ?
Oui, oui, mon ami, nous irons tous les trois.
Ah ! j’oubliais de te dire que j’ai reçu hier la visite de M. Frölichein. Il a quelque chose de très important à te communiquer.
Que peut-il avoir à me dire ? Sa maison est ennemie de la nôtre ; nous cherchons à nous faire tout le mal possible. S’il veut me parler, qu’il vienne chez moi, à l’usine. Je ne veux pas le voir hors des usines, comme en cachette de M. Féréor.
À peine avait-il fini de parler que la porte s’entrouvrit, et que la tête de M. Frölichein parut. Gaspard se leva pour sortir.
Arrêdez, arrêdez, mon cheune ami ; ché une ponne jose à fous offrir.
Merci, monsieur, je suis chez M. Féréor.
Ché sais pien ! Ché sais pien ! Fous affez une rébutation, à brésent. Et ché foudrais fous afoir jé moi.
C’est impossible, monsieur ; je suis chez M. Féréor.
Mais ché le sais pien ; seulement, ché fous tonnerai