amuser. Et quand les camarades sont rentrés, nous nous sommes mêlés à eux comme si nous n’avions pas quitté les rangs.
Et si quelqu’un était entré au parloir ?
Bah ! personne n’y entre à cette heure-çi ; et si même quelqu’un était venu, nous nous serions fourrés sous la table, qui est couverte d’un grand tapis ; personne ne nous aurait vus.
Et si le professeur dit au maître qu’il vous a renvoyés ?
Pas de danger ; une fois sorti de la classe, il n’y pense plus, et il ne voit pas souvent le maître.
— Dis donc, Gargilier, s’écria un élève, est-ce que tu ne manges rien avec ton pain ?
Je n’ai rien ; il faut bien que je le mange sec.
Et pourquoi n’achètes-tu pas… ?
Quoi ?
Quoi ? Du chocolat, parbleu ! des tartes, des noix, des pommes, etc.
Où ?