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Page:Segur - Pauvre Blaise.djvu/149

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J’espère bien, maman, que vous n’y avez pas songé, et que c’est une invention de Jules.

— Je croyais, comme Jules, que tu les élevais pour les manger, Hélène, dit Mme de Trénilly.

— Mais non, maman, je n’ai jamais eu la pensée de les manger. Je veux garder ces jolies volailles pour qu’elles pondent et qu’elles couvent ; je veux les laisser mourir de vieillesse. Pensez donc que