Je vous demande au contraire, papa, de vouloir bien me permettre d’y retourner, parce que, cette fois, ce n’est pas la faute de M. Jules ; il m’attend toujours, et il doit trouver que je mets bien du temps à faire sa commission.
Il t’arrivera encore des désagréments près de M. Jules, mon garçon, crois-moi. Laisse-moi aller trouver M. le comte, que je lui dise pourquoi je t’empêche d’y retourner.
Oh ! non, papa, je vous en prie ; on gronderait les domestiques, on les renverrait peut-être.
Les renvoyer ! pour des méchancetés qu’ils t’ont faites à toi, pauvre Blaise ?
Pas à cause de moi, papa, mais parce qu’ils ont fait attendre M. Jules, qui se sera sans doute impatienté.
Mais pourquoi n’as-tu pas dit que ce que tu demandais était pour M. Jules ?
Ils ne m’en ont pas laissé le temps ; aux premières paroles j’ai perdu la tête, et je n’ai plus pensé à m’appuyer de M. Jules. Il y a tout de