Cette page a été validée par deux contributeurs.
145
LE NOTAIRE JOFRIAU
objet de tant d’angoissantes recherches. Après une hésitation bien légitime, il leva la tête et dit résolument :
— Oui, je sens que je dois pardonner et je demande à Dieu de m’en donner le courage.
— Même si le coupable existait encore, Michel ?…
Il hésita de nouveau, puis regardant sa marraine qui priait tout bas :
— Peut-être !…
![](http://upload.wikimedia.org/wikisource/fr/thumb/d/d8/Fleuron_du_livre_Sen%C3%A9cal%2C_Le_Notaire_Jofriau%2C_1935.jpg/50px-Fleuron_du_livre_Sen%C3%A9cal%2C_Le_Notaire_Jofriau%2C_1935.jpg)