— Qu’en dites-vous, enfants ? voulez-vous demeurer près de lui, — tandis que je vais dire à monseigneur l’empereur — comment j’ai gouverné notre comique complot ? — Cédez à son humeur, caressez-le, flattez-le, — et restez avec lui, jusqu’à mon retour.
— Je les connais tous, bien qu’ils me croient fou ; — et je les attraperai à leurs propres piéges, — ces deux infâmes limiers d’enfer, et leur mère.
— Madame, partez comme il vous plaît, laissez-nous ici.
— Au revoir, Andronicus ! La Vengeance va maintenant — ourdir un complot pour surprendre tes ennemis.
— Je le sais ; ainsi, chère Vengeance, au revoir.
— Dis-nous, vieillard, à quoi allons-nous être employés ?
— Bah ! j’ai de l’ouvrage assez pour vous. — Publius, ici ! Caïus ! Valentin !
— Que voulez-vous ?
Connaissez-vous ces deux êtres ?
Les fils de l’impératrice, — à ce qu’il me semble, Chiron et Démétrius.
— Fi, Publius, fi ! tu te trompes par trop. — L’un est le