brer scrupuleusement la fête ; qu’on ne l’écourte pas d’une heure.
Seigneur, — je vais vous suivre de bien près ; la solennité ne peut être — dignement célébrée avant votre retour.
Cousin, je vous commande — de ne pas bouger d’Athènes : nous serons de retour — avant que vous ayez terminé cette fête, à laquelle je vous prie — de ne rien retrancher. Encore une fois, adieu tous !
— Ainsi tu justifies pour toujours les acclamations du monde.
— Et tu acquiers une divinité égale à celle de Mars.
— Si elle n’est pas supérieure ; car — toi, qui n’es qu’un mortel, tu sais subordonner tes passions — à l’honneur divin ; tandis que les dieux eux-mêmes, dit-on, — gémissent sous leur empire.
Si nous voulons être des hommes, — agissons ainsi : une fois subjugués par les sens, — nous perdons notre dignité humaine. Courage, mesdames ! — Nous allons chercher pour vous des consolations !
— Cher Palémon, toi qui m’es plus cher par l’affection que par le sang, — et qui es mon cousin le plus proche, tu