N’est-ce pas là maître Flowerdale ?… Sir Lancelot, voyez donc qui est là… C’est bien maître Flowerdale.
Maître Flowerdale, vous êtes le très-bien venu.
Mon oncle ! c’est bien lui !
Vous m’arrêtez, monsieur le shériff ! À la requête de qui ?… À moi, Christophe !
À ma requête, monsieur.
Qu’y a-t-il donc, maître Flowerdale ?
Voici ce qu’il y a, monsieur. Ce libertin — vous a trompé ; il a eu de moi — en diverses sommes trois mille livres.
Comment ! mon oncle ! mon oncle !
— Mon neveu, mon neveu, vous m’avez dépouillé, — et si l’on ne vous arrête pas, vous ferez — des dupes de tous ceux qui vous approcheront.
— Mais, monsieur, supposons même qu’il vous doive — dix mille livres. Je calcule que sa fortune — s’élève au moins à trois mille livres par an.
— Ah ! monsieur, j’ai été informé trop tard de la supercherie — par laquelle il est parvenu à vous tromper : — il a fait un testament qu’il a remis à votre excellent ami — ici présent, à maître Girouette. Eh bien, dans ce testament — n’y a que des gasconnades et des mensonges.