vous subiriez dans ce monde paralyseraient, à force d’horreur, les oreilles qui les entendraient raconter.
Me marier ! Mais j’ai fait vœu de ne jamais me marier.
Et moi aussi !
Et moi j’ai fait vœu de ne pas commettre l’ânerie de ne pas me marier. Quel contre-temps !
Mesdames, tout prophète que je suis, je ne puis améliorer les destinées ; je vous les fais connaître telles qu’elles me sont révélées ; je voudrais qu’elles fussent à votre goût et conformes à vos désirs ; c’est tout le mal que je vous voudrais.
Oh ! c’est la juste expiation de la fortune mal acquise de mon mari.
Je vous engage à réfléchir et à y renoncer.
Je vais trouver sir Godfrey, mon frère, et l’informer de ces terribles présages.
En effet, ma mère, ils lui annoncent une perte.
Oh ! oui, vraiment.
— Si une heureuse issue couronne tes paroles, — je récompenserai ta science.
Il suffit, madame. C’est tout ce que je désire.