110 LES BOURGEOISES DE WINDSOR. SLENDER.-NOII, je vous prie ; montrez-moi le chemin. PAGE.-Passes donc, monsieur., Â srrmnna.-C’est vous, mistriss Anne, qui passerez la première., ati
ANNE.-Non pas, mon¿sieur ;. je votåprie, passez. É ? snnunna.-Vraiment, je ne passeraifpas le premier ; non, vraiment, là, je ne vous feraiägs cette impolitesse. ANNE.—Je vous en prie, monsieur. snmvorzn.-J’aime mieux être incîvil qu’importun. C’est vous-même qui vous faites impolitessealà, vraiment. (Ils sortent.)
SCÈNE II
Au même endroit : \
Efntfrent at- noor-1 EVANS ET SIMPLE.
Evans.—Allez droit devant vous, et enquérez-vous du chemin qui mène au logis du docteur Caius. Il y a lil une (laine Quickly qui est chez lui comme une manière cle nourrice, ou de bonne, ou de cuisinière, ou de blanchisseuse, ou de laveuse et de repasseuse. "SIMPLE.-*G, BSl1 bon, monsieur. se Evans»-Non pas ; il y a encore quelque chose de mieux. Donnez-lui cette lettre ; c’est une femme qui est fort de la connaissance de mistriss Anne Page. Cette lettre est pour lui demander e t la prier de solliciter la demande de votre maître auprès de mistriss Anne. Allez tout de suite, je vous prie. Je vais achever de dîner ; on va apporter du fromage et des pommes. ' (Ils sortent.)
J sonne III
Une chambre dans Phôtéllerie de la Îdrretièfé. Entrent rALsrar1«*, L’HOTE, BARDOLPH, NTM, PISTOL ET ROBIN.
FALSTAFF.-“MOD hôte de 1 Jarrezière ? L’noTe.—Que dit mon gros gaillard ? Parle savamment et sagement ;