Page:Shakespeare - Œuvres complètes, traduction Guizot, Didier, 1862, tome 6.djvu/116

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Hit Les BOURGEOISES DE ivrnnson. Avec une houiei'1léet des des pipes, j’atti*aperaî de tous cotés le riche et le pauvre. Je veux avoir des testons en poche, tandis que toi, tu manqueras de tout, vil Turc phrygien. Nm.-J’ai dans ma. tète des opérations qui feront la chose d’une vengeance. r1sroL.—Venir-tu te venger ?- Nrtf.-Oui, par le firmament et son étoile ! rrsroct-Avec la langue ou le fer ? ' Nvn.-Moi ! avec' les deux choses.-Je veux découvrir u a Page la chose de cet amour-là. Prsror..-Et moi pareillement, je prétends aussi raconter it Ford comment Falstaff, ce vil garnement, veut tâter de sa colombe, saisir son or, et souiller sa couche chérie. I Nvixr.-J e ne laisserai point refroidir ma chose ; J exciterai la colère de l’âge à employer le poison. Je lui donnerai la jaunisse ; ce changement de couleur a des effets dangereux. Voilà. la vraie chose. Pzsror..-Tu es le Mars des mécontents : je te seconde ; marche en avant. (Ils sortent.)

sonne IV

Une pièce de la maison du docteur Caius. Entrent mist/rfiss QUIKLY, SIMPLE nr RUGBY. Qciexcv.-M’entends-tu, Jean Rugby ? Jean Rugby ! Je le prie, monte au grenier, et regarde si tu ne vois pas revenir mon maître, M. le docteur Caius. S’il rentre et rju’il rencontre quelqu’un au logis, nous allons entendre, comme a l’ordinaire, insulter a la patience de Dieu et à l’anglais du roi. nucnv.-Je vais guetter. . (Rugby sort.) Quicxnvz-Va, et je te promets que, pour la peine, nous mangerons ce soir une bonne petite collation al la