Page:Shakespeare - Œuvres complètes, traduction Guizot, Didier, 1862, tome 6.djvu/162

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160 LES Bounetzoisss ou wiuosor. seconde fois chez elle entre huit et neuf. Elle n1`a chargé de vous le faire savoir promptement ; elle vous dédommagera de votre aventure, je vous en reponds. mLsrArs.-Eh bien ! je consens zi l’aller visiter. Biteslui de réfléchir sur ce que vaut un homme. Qu’elle considère sa propre fragilité, et qu’elle appreciemon mérite.

QUICKLY.—CHGSÎ. ce que je lui dirai. FALSTAFF.-N’Y manquez pas. Entre huit et neuf, dites vous ? ', ` - i *

Quicirnv.—Huit et neuf, monsieur. mnsrarr.-Bon, retournez : elle peut compter sur moi. QUICKLY.-QUE la paix soit avec vous, monsieur. (Elle sort.)

FALSTAFF.-Je m’étonne de ne point voir para ! Lre mousieur Brook ; il-nfavait fait prier de Tattenclre chez moi ; j’aime fort son argent. Ali ! le voici. (Entre Ford)

ronof-Dieu vous garde, monsieur. ÎPALSTAFF.-l4Eh bien ! monsieur Brook, vous venez sans doute pour savoir ce qui s’est passe entre moi et la femme de Ford.

sono.—(Test en effet Pobjet qui m’amene, sir John : FALSTAFF.—Monsieur Brook, je. ne veux pas vous tromper ÿ je me suis rendu chez elle il l’heure marquée. Fono.—Eh bien ! monsieur, comment avez-vous ete traite ?

FALSTAFF -Très-désagréablement, monsieur’Brook. sono.-Comment donc “I Aurait-elle change de sentiment ?

FALSTAFF.-Non, monsieur Brook, mais son pauvre cornu de mari, monsieur Brook, que la jalousie tient dans de continuelles alarmes, nous est arrive pendant Yeutrevue, au moment ou finissaient les einbrassarles, baisers, protestations, cïest-a-dire le prologue de notre comédie. Il amenàit après lui une bande (le ses amis que, dans son mal, il avait ameutes et excités et venir faire dans la maison la recherche de Painant de sa femme.