Page:Shakespeare - Œuvres complètes, traduction Guizot, Didier, 1862, tome 6.djvu/175

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. rotin. -Ah ! je lui en donnerai du babil. Hors de chez moi, sorcière. (Il le bat.) Vieux graillon. coquine, drôlesse, salope que vous êtes. Ah ! je vous conjurerai, moi, je je vous dirai-la bonne aventure. × \ ' (Falstaiï sort.)

Mxsrmss PAGE.-N’avez-vous pas de honte ? Je crois, en vérité que vous avez. Lue cette pauvre femme. nnsrmss Fonn.-Vraiment, cela pourrait bien être.-4 Gela vous fera honneur.

rose :-Je voudrais qu’elle fut pendue, la sorcière.

EVANS.—À vrai dire, je crois bien que la femme est une sorcière. Je n’aime pas qu’une femme ait une grande barbe, et j’ai vu une grande barbe sous son masque. ronn.-Messieurs, voulez-vous me suivre ? J e vous en conjure ; suivez-moi ; vous serez témoins du résultat de mes soupçons. Si je ne fais pas lever une pièce, ne ine croyez plus quand j’aboierai.

PAGÉ.-Allons, prêtons-nous encore à sa fantaisie. Venez, messieurs.

(Page, Ford, Shallow et Evans sortent.) Mrsrniss PAGE.—J e vous réponds* qu’il a été pitoyablement arrange.

' nnsrmss Folio.-Dites donc impitoyablement. msrniss PAGE.-Topine pour que le bâton soit béni et suspendu sur l’autel 5' il a servi à une action méritoire. zuisrmss ronn.-Pensez-vous quïautorisèes comme nous le sommes par notre dignité de femmes et le témoignage d’une bonne conscience, nous puissions peus* ser plus loin notre vengeance ?

Misrmss PAGE.-J e crois bien que l’esprit de libertinage doit avoir reçu son compte ; et qu’à moins de s’être engage au diable par dits et dechts ', il ne songera plus à attenter à notre honneur.

Amisrmss rene.—Dirons-nous à nos maris les tours que nous lui avons joues ? W

itnsrmss PAGE.—Certainement, né fût-ce que pour ôter de l’esprit du votre les fantaisies qu’il y a mises. S’ils 1 In fee sample, fumth fine and recovery.