ACTE' III, SCÈNE ui. 244
que du sang, le sang de la France, et spn sang le plus cher, le plus précieux. p.
Î='HILlPl ?E.¿-:TH rage te consnrnera, et tu seras réduit en cendres avant que notre sang en eteigne la flamme. Prends garde à. toi, tu ès en péril. J-LE ROI JEAN.—Pas plus que celui qui ine menace.:- Gourons aux armes. *- . — '
` '. (Ils sortent.) '
SCÈNE II -
La scène est toujours en France.- Plaine près d’Apgers. Fqmfares ; sdldats qui passent et repasçefnt.-Entre BA` TARD, tegrgiagtt la tête de l’q, *rc]μçÿμc d'4utr§ çhe. LE BATARD.—Sur ma vie, cette journée devient terriblement chaude ! Quelque demon aérien planélà=lï.iaut et verse le inal sur la terre. ;La tête de Parchiduc' est ici, tandis que Philippe respire encore. ' (Entrent le roi Jean, Arthur et Hubert.) ps gpr-gnáu.-1~l11be1*t, prends cet enfant sous ta garde. Qi']Îcp1tlçQgtl :Ê"§ dfge.)-Philippe, au combat I: ma mère est assiégee dans fna tente, et prise peut-être, j’en ai peur. ne pxraau.-Seigneur, je llai délivrée ; Son Altesse est en sureté ; ne craignez rien. Mais en avant, mon prince ; il ne faut plus que bien peu d’efforts pour amener notre
!2e§ s›see ?f1 ?î@H- *
(Ils sortent.)
SCÈNE III
La scène esg la rnenjie,
On sonne Z’alm*me. escarmoœtches, ¢*et×razte. — Entrent le ROI ` insu, 1~Îg1.É0N01§ 1E:` ARTHUR, -LE BAIARD, `HU= BER.T¿ et des Iorglsi ' '
LE agir qn¿1~§ .J+11 en sera ainsi (A Éléonorál-Votre Seigneurie demeurera en arrière avec cette forte garde. 1(Au jçœmç.[1q1tfyu›1*.)Mq1i QQllSÎI], ï1, &Χ -Ê pas1`air si tçigåÿe : la