Page:Shakespeare - Œuvres complètes, traduction Guizot, Didier, 1862, tome 6.djvu/32

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šö LE MARCHAND un iuãinss.

de pareils 1ifreafi1ems=+='\fefiez, ment père, je \fa-is prendre conge du Juif dans un clin d'œi1 ;

(Lancelot et Gobbo sortënh)

Bassamo.-Je te prie, cher Leonardo, songe à ce que je t’ai recommande. Quand tu auras tout acheté et dis* tribue comme je te 1'ai clit, reviens promptement ; car je traite chez moi, ce soir, mes meilleurs amis. Dépêchetoi, va.

LÉONARDO.*J6 ferai tout cela de mon mieux. (Entre Gratianîn)

GBIQTIANO.-Qlîl est votre maître ?

LÈol\lA[\D0.7-Là-13215, monsieur, qui se promène.... (Léonardo sort.)

Gmvriafio.- § eigneur* Bassanio ! »

ÈASSANIO.*H§ 1l Gyratianof

GRATIANO.-J 'ai une demande a vous faire. BASSANIO.-E118 *gens est accordée. ' GHATIANO.-Vous ne pouvez me refuser ; il faut ãhsolfiment que je vous accompagne à Belmont.

msslwfrd.-Tifeš-bien, j'ÿ'consens.-Mais êööiite, Graf tiano.-'lïiipes trop sans façon, trop hfusqnë ; in as un tonffle iföiiî trop tranchant.-Ce sont des qualités qui to vont assez bien, et qui à. nos yeux ne semblent pas des défauts ; mais partout ou tu11`es pas connu, te dirai-je ? elles annoncent quelque chose de trop libre.-Je t’en prie, prends la peine de temperer ton esprit trop petulant par quelques grains de retenue, de peur que 1'ir1*é= gularite de tes manières ne soit interprétée si mon désavantage dans le lieu oü je vais, et ne me fasse perdre înes espérances.- GRATIANO.—SBlg11Bl11` Bassanio, écoutez-moi ; si je ne prends pas le maintien le plus modeste, si je rie parle pas respectueusement, ne laissant échapper que quelques jurons de temps zi autre ; si je ne me présente pas' dél’air plus grave, toujours des livres de prië1*és dans ma poche ; si même, lorsqu’on dira les grâces, je ne ferme pas les yeux avec componction en tenant ainsi mon chapeau, et poussant un soupir, et disant anién ; êñliiï si je 11`ol : iserve` pas la ciifilite jusiju’ai1›scrupule,-