Page:Shakespeare - Œuvres complètes, traduction Guizot, Didier, 1862, tome 6.djvu/350

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présent ? quelle ressource nous reste-t-il a pré sent§§ ¿Par le ciel, je haïrai éternellement quiconque 1ll, BXh01`fBl’8. davantage a prendre courage. Allons au château de Flintá j’y veux mourir de ma douleur. Un roi vaincu par le malheur doit obéir au malheur, son roi. Congédiez les troupes qui me restent, et qu’elles aillent lahourer la terre qui leur offre encore quelques espérances : pour moi. je n’eu ai points-Que personne ne.me parlêî de changer mon dessein : tout conseil serait vain. Amiante.-Mon souverain, un inot.

nmnann.-Celui dont la langue me blesse par ses flatteries me fait 1111 double n1al.- Licenciez ma suite, qu’ils s’en aillent. Qu’ils fuient de la nuit de Richard vers le jour brillant de Bolingbroke.

A V (Ils sortent.)
scène III

La scène est dans le pays de Galles, devant le château de Flint. Entrent avec des tambours et des étendards BOLINGBROKE et ses troupes, YORK, NORTHUMBERLAND et plusieurs autres.

Bouncnnoicn.-Ainsi nous apprenons par cet avis que les Gallois sont dispersés ; et que Salisbury est allé rejoindre le roi, qui vient de débarquer sur cette cote avec quelques-uns de ses amis particuliers. Nonfrnommatauo.-Voila une bonne et agréable nouvelle, seigneur. Richard est venu cacher sa tête assez près d°1ci.

roma. -~Il serait convenable que lord Northumberland voulut bien dire le roi Richard.-Hélas ! quel triste jour que celui ou le souverain sacré est obligé de cacher sa téte ! '

Nonwuuixenntaxn.-Votre Glace se rnéprend sur 11185 intentions : c’était pour abreger que j’avais omis le titre. vomi.-11 fut un temps où, si vous aviez abrégé ainsi il son égard, \il eút aussi abrégé avec vous en vous rac\