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mieux mordu que je ne l’ai été depuis le premier chant du coq.
sncozvn vorrnrunn.-Je le crois bien, ils ne vous donnent jamais de pot ; cela fait qu’on lâche Peau dans la cheminée, et les puces n’engendrent dans vos chambres par fou1*miliè1'es.
rnnniian vorrnnnzu.-Allons, garçon, allons donc, depèche, et puisses-tu être pendu, allons donc ! sscoxo vorrunnan.-J'ái un jambon et deux balles de gingembre a rendre si Londres aussi loin que Charing-Cross.. Q p %
rnnminn vorrumen.-Ventrehleul j’ai 151 des dindons, dans mon panier, qui meurent presque de faim. Holà, garçon ! que la peste te crève I N’as-tu donc pas des yeux dans la tête ? Es-tu sourd ? Que je sois un coquin, s’il n’est pas vrai que j’aurais autant de plaisir à. te fendre la cahoche qu*à boire un verre de vin. Viens donc te faire pendre ; n’as-tu pas de conscience ? (Entre Gadslnll.)
GADSHILL.-Bonjour, voiturier. Quelle heure est-il ?` Pnnxumn vorrnmsn.-J e crois qu’il est deux heures. eansrnnn.-Je t’en prie, prêtenmoi ta lanterne pour alier voir mon cheval dans Fecurie. PREMIER vorrumnn.-Doucement, je vous en prie ; nous savons, ma foi, un tour qui en vaut deux comme celui-là.
eansnmn, au second voiturier. -Je t’en prie, prête-moi la tienne.
sncoxo vorrurusn -Hal et quand cela, dis-moi doncl Prête-moi la lanterne, dit-il ; par ma foi, je te verrai bien pendre auparavant.
esnsmnr..-Voituriers, à quelle heure comptez-vous arriver à Londres ? 5
sncono vorrumnn.-Assez tôt pour nous coucher à la chandelle, je t’assure. Allons, voisin Mugs, il nous faut aller réveiller ces messieurs ; ils viendront de compagnie, carils sont bien chargea.
(Les voituriers s’en vont.)
uausuxnc.—-He ! hola, garcon 1-