Page:Shakespeare - Œuvres complètes, traduction Guizot, Didier, 1862, tome 6.djvu/429

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ACTE 11, SCÈNE III. 427

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  • 5 sonne. III i

Warkworth. Un appartement du château.

, HOTSPUR entre lisant une lettre.

Ho*rsPUn, l*isant.-Quant it mot, mtlord, je serais bien sattslctit de 'mfy trotwer, par Fa/fectton que je porte à votre maison.-Il serait satisfait ? Quoi ?... Et pourquoi n’y est-il donc pas 'fjpetr t’a/faction quït porte it notre maison. Il montre bien en ceci qu’il aime mieux sa grange que notre maison :-Voyons, continuons. Eentraprise que vous tentez est dangereuse. Vraiment, cela est certain  ; mais il est dangereux aussi de prendre froid ; de dormir, de boire ; mais je vous dis, mon îmbécilelorçl, que dans cette épine, le danger, nous cueillerons cette fleur,1a sûreté.-L’ertt*reprise que vous tentez est dangereuse ; les amis que vous cwezmommés ne soyttpas sûrs] les circonstances même ne sont pas favorables, et tout Fensemble de votre projet n’ast pas asseyfortement conçu, pour contre-balancer la, forqgd’un’st puissant adversaire. C’est la votre réponse ? c’est la votre réponse ? en bien I je vous réplique, moi, que vous êtes un poltron comme une mauvaise biche, et que vous montez. Quel imbécile est ce là ? Par le ciel ! notre projet est le projet le mieux conçu qui ait jamais été forme. Nos amis sont fidèles et constants. G’estun projet admirable ! Ce sont de bons amis, et dont’on peut tout attendre : 'un excellent projet et de bons amis !-Quel coquin au cœur glace est-ce denclàl Comment, lorsque monseigneur d’York approuve le projet et toute la conduite de l’entreprise ?-Mordieu, si ce gredin-la était maintenant sous ma main, je lui casserais la tête avec Pevenlail de sa femme»-Mon père n’e11 est-il pas, 1non oncle et moi ? Edmond Mortimer, monseiè gneur d’York et Owen Glendower ? N’y a-t-il pas encore les’Douglas 'B N’ai-je pas leurs lettres à tous ou ils me promettent de me joindre armés le neuf du mois pro\