Page:Shakespeare - Œuvres complètes, traduction Guizot, Didier, 1862, tome 6.djvu/443

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soient. donnes. Eh bien ln nous divertirons-nous bien se soir 9 Ferons-nous une comédie impromptu ? Hnnmë-«Va comme il est dit : le sujet sera, sauve qui peut. FALSTAFFV.-Ah I ne parlons plus de cela, Hal, par amitié pour moi, ' s ' * ' P (Entre Phôtesse.) f rfinorussu.-Milord le prince. - - "-HENR1.-Eh bien, Inilady Yhôtesse, qu’aS-tu à me dire ? Unornssn.-Vraiment, milord, il y a a la porte un noble de la cour qui demande a vous parler ; il dit qu’il vient de `la part de votre père. ^ ff HENRI.-Donnez-lui cé qu’il faut pour en faire un homme royal, et renvoyez-le à ma mère 1. ransruvr.-Quelle espèce d’homme est-ce ? rffiornssn.-C’est un vieillard. ' FALSTAFF.*QL1B fait la gravité d’un vieillard hors de son lit a minuit 9 Irai-je lui donner sa réponse ?

HENRI.-Oh ! oui, je t’en prie ; va, Jack.

FALSTAFF.-Eh bien, ma foi, je m’en vais lui donner son paquet ; " (Il sort.) ' HENRI.-Old çà 1 mes braves, par N otre-Dame, vous vous êtes bien battus ; et vous aussi, Pete ; et vous aussi, Barclolph. Vous êtes aussi des lions, vous vous êtes sauvés par instinct ; vous ne voudriez pas mettre la main sur le prince legitime. Oh ! non, ti donc ! . BAI}DÎ)Î, PH.L-Mil. Toi, je me suis sauvé, moi, quand j’ai ru les autres se sauver.

  • 'nzšuruf Oh Vça ! dites-moi et présent, sans plaisanterie,

comment se fait-il que Pépée de Falstaff soit si ebrechee “ ? Pnfro.-Pardjeu, il l’a ebrechée avec son poignard, et a , * 1 La *royale valait 10 schellings ; la noble, 6 schqllings 8 deniers. Royal et 'real se prononçant ix peu près de même, Henri veut qu’on ajoute au noble ce qu’il faut pour en faire un royal Ou 'real fiian (un homme réel). et qu’on 1'envoie à sa mère.