Page:Shakespeare - Œuvres complètes, traduction Guizot, Didier, 1862, tome 6.djvu/452

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ACTE TROISIÈME

SCÈNE 1 o

À Ranger.-La maison de l’arcbicliacre. Efntrem HOTSPUR, WORCESTER, MORTIMER ET GLENDOWISR.

Momiuna.-Ces promesses sont belles : nos partisans sont sûrs, etnotre début présente les plus belles espérances. Horsvua.-«Lord Mortimer, -et vous, cousin Glendo-Wer, voulez-vous que nous nous asseyions ?—et vous aussi, mon oncle Worcester.-Malédiction ! j’aioub1ie la carte".

GLnNooWEn.-*Non : la voici. Assieds-toi, cousin Percy, assieds-toi, mon bon cousin Hotspur : toutevsles fois que Lancaster parle de vous sous ce nom, son visage palin ; et poussant un soupir, il vous souhaite le ciel. HOTSPUR.-Età. vous1'enfer, toutes les fois qu’il entend prononcer le nom f1'OWen Grlenclowor. Gmanuowian.-Je ne peux l’en Diamar : lors de ma 11€lÎSS€lI’lCC,1GÎl’O11Î1(1L1 filmaient se remplit de figures enflammées et de signaux hxnlauts, as1›1nssml oùjo vins au monde, les immenses fondements de la terre tremblèrent comme un poltron. h

HOTSPUR.-Ehhûll l ne fussiez-vousjainaisné, la chatte devotre mère eut-elle. simplement fait ses chats, le globe n’en aurait pas moins tremble dans cé moment-là. GLENDOWER.-“J e vous dis que la terre tremble quand je naquis..