Page:Shakespeare - Œuvres complètes, traduction Guizot, Didier, 1862, tome 6.djvu/485

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“ ACTE CINQUIÈME

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ig. "

1 sonNE 1

Le camp du roi près de Shrewsbury. Evilrenû LE ROI HENRLLE PRINCE HENRI, LE PRINCEJEAN DE LANCASIRE. SIR WVALTER BLOUNT nr × Slll JEAN FALSTAFF * *

ne Iggy.-CoInmele soleil commences à se montrer sanglqiil çllkçleestls (le cette montagne boisée ! Le jour pâlit en le voyant si trouble.

IIEEEI, -Le vent du midi faisant fonction de trompette nous annonce ses desseins, et par de sourds rugissements zi travers les feuillages prtclit la tempête et unÎUUQV 01`šlS€*lUš-LE nor.-Qu’i1s sympathisent donc avec les vaincus, rien ne paraît sombre aux vainqueurs. (Eittrmz. Worcester ei ; lfe1'¿@ovz».) (Test vons, milord Vlforcester ? Il. ne convient guère que nous nous rencontrions ici en de pareils termes. Vous avez trompe notre confiance ; vous nous avez forces çle dépouiller les Commodes vêtements de la paix, pour froisser d’unt glur acier nos membres vieillis, Cela ii°est pas bien, milord, cela n’est pas bien. One repondez-vous ? Yoiilegÿgoiis dénouer le nœud féroce d’une guerre abhorrée de tous, et rentrer dans cette sphère rfoljèissançe ou vous bijilliez ç1°un éclat pur et naturel ? Voulez-vous cesser de ressembler a un meteore exhale dans les airs, prodige terrible et présage des calamités annoncées aux temps a venir ?

WOBCESTE1t.L-*ECOUÎQZ-IDOL mon souverain.-fPour ce qui ine regarde, je serais sans doute satisfait de couler J