Page:Shakespeare - Œuvres complètes, traduction Guizot, Didier, 1862, tome 6.djvu/82

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

80 / LE MARCHANDISE VENISE. qu’elle saura combien j’ai nifišé cette bague, elle ne se brouillera pas avec vous à tout jamais, pour me 1'a.voir donnée. C’est bien ; la paix soit avec vous ! ' — (Sorte-nt Poriia et Iférissa.) › N’roN1o.-Seigneur Bassanio, donnez-lui cette bzfåue. Que ses services et mon amitié l’emportent sur 1'ordre de votre femme. Ê' se BAssANio*.-A1lons.¿Ya, Gratiano, tâche de le joindre. Donne-lui la bague5¿e&t* ; s’i1 se peut, engage-le à venir chez Antonio. Cours, dépêche-toi. (Gframano sort.) Bendons-nous-y de ce pas. Demain de grand matin nous råvolerons à Belmont. Venez, Antonio.

' fils sortent.)
SCÈNE II

Toujours à Venise.-Une rue. Entrent PORTIA in NÉRISSA. .» Forma.-î}Demande où est la maison du Juif ; donnelui cet acteà signer. Nous partirons ce soir, et nous arriverons un jour avant nos maris.-Get acte sera fort bien reçu d’èÎiLorenzo. kñ (Entre Gratiano.) GRATIANQÁ ;-Mon beau monsieur, soyez le bien retrouvé¿pLe-gãäåneui* Bassanio, après de plus amples réflexions, vous yen voie cette bague et vous invite zi dîner. ronfrm.-.Te ne Ie puis. J 'accepte sa bague ; dites-lo-lui ainsi de ma part, je vous prie.-Enseignez, de plus, je vous prie, encore à. ce jeune homme la demeure du vieux Shylock. p eugrxmo.-J e vais vous l’indiquer. Nfimsss. -Monsieur, je voudrais vous dire un mot. (À Partie.) Je veux essayer si j e pourrai ravoir de mon mari la bague que je lui ai fait jurer de conserver toujours. rorvrm.-Tu Y parviendras, je t’en réponds.-Ils vont 1.