Tout est perdu ! En prière ! en prière ! Tout est perdu !
Quoi ! nos bouches doivent-elles déjà se glacer ?
— Le roi et le prince en prières ! joignons-nous à eux, — car notre cas est comme le leur.
Ma patience est à bout.
— Ces ivrognes-là nous ont simplement escamoté la vie ! — Misérable braillard ! puisses-tu n’être plus qu’un noyé, — lavé par dix marées !
Non ! il sera pendu, — quand chaque goutte d’eau jurerait le contraire — et s’entr’ouvrirait toute grande pour l’engloutir !
Miséricorde !… — Nous nous brisons ! nous nous brisons ! … Adieu, ma femme, mes enfants !… — Adieu, frère !… Nous nous brisons ! nous nous brisons ! nous nous brisons !
— Abîmons-nous tous avec le roi.
Prenons congé de lui.
Je donnerais maintenant mille stades de mer pour un