Non ! non ! traitons la chose comme un rêve, jusqu’à ce qu’elle se réalise… Mais je désire la faire savoir à ma fille, afin qu’elle soit bien préparée pour la réponse, si par aventure la nouvelle était vraie. Allez lui en parler, vous.
Cousins, vous savez ce que vous avez à faire… Oh ! je vous demande bien pardon, mon ami : venez avec moi, et je vais employer vos talents… Mes bons cousins, montrez tout votre zèle à cette heure urgente.
Seriez-vous indisposé, monseigneur ? D’où vous vient cette tristesse sans mesure ?
Les causes qui la produisent étant sans mesure, ma tristesse est sans limite.
Vous devriez écouter la raison.
Et quand je l’aurai écoutée, quel bienfait m’en reviendra-t-il ?
Sinon un remède immédiat, du moins une patiente résignation,
Je m’étonne que toi, né, comme tu prétends l’être.