— Adieu, jeune seigneur. Ces principes guerriers, — ne les perdez pas de vue… Et vous aussi, seigneur, adieu. — Partagez mon conseil entre vous ; et si tous deux vous en tirez profit, — le don que vous aurez reçu aura doublé de valeur — en suffisant à tous deux.
Nous espérons, — Sire, revenir soldats éprouvés — et trouver Votre Grâce en bonne santé.
— Non, non, c’est impossible ; et pourtant mon cœur — ne veut pas se reconnaître atteint par la maladie — qui assiége ma vie. Adieu, jeunes seigneurs : — que je vive ou que je meure, soyez les — dignes fils de la France ; que la haute Italie, — que cette race abâtardie, qui n’a hérité que de la décadence — du dernier empire, voie que vous venez — non pour courtiser la gloire, mais pour l’épouser ; — quand les plus braves éclaireurs reculeront, sachez trouver, vous, ce que vous cherchez, — pour que la renommée vous acclame. Encore une fois, adieu.
— Que la santé se mette aux ordres de Votre Majesté !
— Ces filles d’Italie, défiez-vous d’elles ! — Elles disent que nos Français n’ont pas de mots pour refuser —