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TOUT EST BIEN QUI FINIT BIEN.
quand elles demandent. Prenez garde d’être captivés — avant même d’avoir pris service.
PREMIER SEIGNEUR.
Nos cœurs recueillent vos avis.
LE ROI.
Adieu.
À un de ses gens.
Venez m’aider.
Le Roi s’étend sur un lit de repos.
PREMIER SEIGNEUR, à Bertrand.
— Ô mon cher seigneur, vous laisser ainsi derrière nous !
PAROLES.
— Ce n’est pas sa faute, l’étincelle…
DEUXIÈME SEIGNEUR.
Oh ! une si belle campagne !
PAROLES.
— Admirable. J’ai vu ces guerres.
BERTRAND.
— Je reste ici par ordre, et l’on me tient en bride, en disant : — Trop jeune ! l’année prochaine ! c’est trop tôt.
PAROLES.
— Si le cœur t’en dit, enfant, dérobe-toi bravement !
BERTRAND.
— Il faut que je reste attelé ici à un cotillon, je suis condamné à trotter sur la dalle unie, — jusqu’à ce que la gloire soit épuisée toute, et à ne porter qu’une épée — de danseur ! Par le ciel, je me déroberai.
PREMIER SEIGNEUR.
— Ce sera un vol honorable.
PAROLES.
Commettez-le, comte ! —