Eh bien, celui dont je parle.
Ainsi les hommes deviennent plus savants de jour en jour ! C’est la première foi que j’ai jamais ouï dire que voir briser des côtes était un divertissement pour des femmes.
Et moi aussi, je te le promets.
Mais y a-t-il encore quelqu’un qui aspire à entendre dans ses côtes ce bris musical ? Reste-t-il quelque amateur de côtes brisées ?… Verrons-nous cette lutte, cousine ?
Il le faut bien, si vous restez ici ; car voici l’endroit même fixé pour la lutte, et ils sont prêts à l’engager.
Pour sûr, ce sont eux qui viennent. Restons donc et voyons.
En avant ! puisque ce jeune homme ne veut pas se laisser fléchir, qu’il coure les risques de sa témérité.
Est-ce là l’homme ?
Lui-même, madame.
Hélas ! il est trop jeune ; pourtant il a un air triomphant.