ment. — Le duc de Suffolk est le premier, et prend le pas — comme grand sénéchal ; ensuite vient le duc de Norfolk, — comme comte-maréchal ; vous pouvez lire le reste.
— Je vous remercie, monsieur ; si je n’étais pas au courant de ces usages-là, — votre papier m’eût été fort utile ; — mais, je vous prie, qu’est devenue Catherine, — la princesse douairière ? Où en est son affaire ?
— Ça, je peux vous le dire. L’archevêque — de Cantorbéry, accompagne d’autres — savants et révérends pères de son ordre, — a tenu dernièrement une cour de justice à Dunstable, à six milles — d’Ampthill, ou séjournait la princesse : à cette cour, — elle a été citée plusieurs fois, mais elle n’a point comparu. — Bref, sur sa non-comparution et en raison — des récents scrupules du roi, le divorce a été prononcé — à l’unanimité par ces savants personnages, — et le mariage préalable déclaré de nul effet. — Depuis lors elle a été transférée à Kimbolton — où elle réside maintenant, malade.
Hélas ! la bonne dame !
— Les trompettes sonnent. Rangeons nous, la reine arrive.