Je ne puis le trouver : le drôle a pu se vanter de ce qu’il n’a pu obtenir.
Avez-vous entendu ça ?
Oui, oui, silence ! Vous me traitez-bien, maître Gué, n’est-ce pas ?
Oui, certes.
Puisse le ciel vous faire meilleur que vos pensées !
Amen.
Vous vous faites grand tort à vous-même, maître Gué.
Oui, oui, j’en dois porter la peine.
S’il y a personne dans la maison, dans les champres, dans les coffres et dans les armoires, que le ciel me pardonne mes péchés au jour du jugement !
Palsembleu, ni moi non plus ; il n’y a personne ici !
Fi, fi ! maître Gué ! n’avez-vous pas honte ? Quel malin esprit, quel démon vous suggère ces idées ? Je ne voudrais pas, pour toutes les richesses du château de Windsor, avoir une maladie de ce genre.
C’est mon malheur, maître Page : j’en souffre.
Vous souffrez d’une mauvaise conscience : votre femme