Ma Nanette sera la reine des fées, — magnifiquement vêtue de blanc.
— Je vais acheter la soie.
Et à ce beau moment, — maître Slender enlèvera ma Nanette, — pour aller l’épouser à Eton…
Allons, envoyez vite chez Falstaff.
— Et moi, je vais encore une fois me présenter à lui sous le nom de Fontaine : — il me dira tous ses projets… Il viendra, bien sûr.
— N’en doutez pas… Allons chercher les toilettes — et les parures pour nos fées.
À l’œuvre ! c’est des plaisirs admirables et des malices pien honnêtes.
Allons, mistress Gué, — envoyez vite chez sir John savoir sa décision.
— Moi, je vais chez le docteur ; il a mes sympathies, — et nul autre que lui n’épousera Nanette Page. — Ce Slender, avec toutes ses terres, n’est qu’un idiot, — et c’est lui que mon mari préfère. — Le docteur a de beaux écus et des amis — puissants en cour ; lui seul aura ma fille, — quand vingt mille plus dignes la solliciteraient.