dans la matinée nous chasserons à l’oiseau ; j’ai un excellent faucon pour le bois.
Soit ! venez, maître Page. Viens, femme. Je vous en prie, venez tous ; vuus êtes les bienvenus ; venez.
Pardieu, maître Gué n’est plus dans son pon sens.
(14) Une chanson du poëte Sidney dans Astrophel et Stella commence par ce vers :
(15) Dans un sermon prononcé à White-Hall en janvier 1607, un chapelain du roi Jacques Ier dénonçait ainsi les excentricités de la toilette des femmes : « Oh ! quelle merveille de voir sur une tête féminine un navire sous voiles avec ses agrès, ses mâts, sa grande et sa petite hune, son pont et son entrepont, décoré de banderoles, de drapeaux et de pavillons ! n’est-il pas surprenant de voir une femme créée à l’image de Dieu si souvent défigurée par les folles modes de France et d’Espagne ! »
(16) Extrait de la comédie primitive, publiée en 1602 :
Vous entendez ? Quand votre maître viendra, enlevez le panier comme vous l’avez déjà fait ; et si votre maître vous dit de le mettre à terre, obéissez-lui.
Je m’y engage.
Sir John, soyez le bienvenu.
Çà, êtes-vous sûre de votre mari, maintenant ?
Il est allé chasser à l’oiseau, sir John, et j’espère qu’il ne reviendra pas encore.
Cordieu ! voici mistress Page !… Mettez-vous derrière la tapisserie, bon sir John.