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Page:Shakespeare - Œuvres complètes, traduction Montégut, Hachette, 1872, tome 9.djvu/201

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sagesse, à la ruine par l’heureuse fortune. Il ne saurait y avoir, et il n’y a en effet rien de plus grand au monde. OEdipe roi et Hamlet restent les deux drames incomparables entre tous. Nous ne pouvons qu’indiquer cette ressemblance entre les deux chefs-d’œuvre, dont la comparaison nous mènerait trop au delà des bornes dans lesquelles doit se renfermer une notice sommaire ; et celle-ci n’est déjà peut-être que trop prolongée. Il nous faut donc abandonner Hamlet, après l’avoir effleuré à peine ; n’avions-nous pas raison de dire tout à l’heure qu’un commentaire de cette pièce exigerait un volume entier ?