Page:Shelley - Frankenstein, ou le Prométhée moderne, trad. Saladin, tome 1.djvu/167

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a été plusieurs fois malade depuis que Clerval est parti de Genève ; il a déjà recouvré la santé, et il est sur le point d’épouser une très-aimable et très-jolie française, madame Tavernier. Elle est veuve et plus âgée que lui ; mais on la trouve très-belle, et elle est aimée de tout le monde.

» Moi qui vous écris, je suis en bonne santé, mon cher cousin ; mais je ne puis terminer ma lettre sans vous demander encore avec inquiétude des nouvelles de la vôtre. Mon cher Victor, si vous n’êtes pas trop malade, écrivez vous-même, et rendez heureux votre père et nous tous ; on Je n’ai pas la force de penser au malheur ;