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mes pleurs coulent déjà. Adieu, mon très-cher cousin.
» Élisabeth Lavenza ».
Genève, 18 mars 17-
« Chère Élisabeth ! m’écriai-je, après avoir lu sa lettre, j’écrirai sur-le-champ, et je mettrai fin à l’inquiétude qui doit la tourmenter ». J’écrivis, et je fus très-fatigué d’avoir écrit ; mais ma convalescence venait de commencer, elle continua régulièrement. Quinze jours après, je pus quitter la chambre.
Un de mes premiers devoirs fut de présenter Clerval à plusieurs professeurs de l’université. En agissant