Page:Sicard - La Mort des Yeux, 1907.djvu/181

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de méditation qui m’enlace et me berce.

Dans la salle à manger on apporte une lampe. On range des assiettes sur la nappe et des verres choqués tintent doucement.

Est-il déjà si tard que l’on apprête la table pour le dîner ?

Ma mère me guide et me fait asseoir… Je n’entends plus le tic-tac du balancier de la pendule sur la cheminée, je n’entends plus que la vie qui marche, à nouveau, ironique, près de moi.