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Page:Sicard - Le Jardin du Silence et la Ville du Roy, 1913.djvu/143

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IX


La foi, cette raison et ce doux scapulaire,
            Reviendra-t-elle encor !
Oublierai-je, appuyé sur sa chaude lumière,
            Mon âge et mon effort ?

Comblerai-je de fleurs limpides cette route
            Où règne le chardon ?
Me mettrai-je à genoux devant Dieu qui m’écoute
            Et croirai-je au pardon ?