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Page:Sicard - Le Jardin du Silence et la Ville du Roy, 1913.djvu/73

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X


            Si ta plaine est toujours en joie,
            Ton divan est toujours en fête.
            Sur l’une ta gloire s’éploie
            Et sur l’autre mon corps se jette.

            Ma vie prend cette double part
            D’horizon et de lit immense.
            Je passe d’un char dans un char,
            Quand l’un s’en va, l’autre s’avance.